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Quand mon Frangibus Toulonibus et sa petite amie chinoise viennent passer quelques jours chez nous, ils ne viennent pas les mains vides. Non, ils viennent avec des champignons parfumés, et entre deux visites touristiques, hop, Weïlin improvise un atelier raviolis chinois pour toute la famille. On y a passé l’après-midi entier, la cuisine a fini en véritable champ de bataille, mais le jeu en valait la chandelle, car le résultat était juste exceptionnel ! Nous nous sommes régalés, et il y en avait une telle quantité que les quatre fournées nous ont nourri hier soir, et ce midi encore !

En fin d’année dernière, j’ai cédé au concept des box de thé… J’avais besoin de refaire mes stocks, j’avais envie de découvrir de nouvelles choses, le principe de recevoir du thé surprise chez moi chaque mois me convenait parfaitement. Et on m’a proposé de tester Chakaiclub, les pochettes « surprise » de thé à recevoir chez soi…

Grande buveuse de thé devant l’éternel (option matin midi soir, et plusieurs fois l’après-midi), je n’avais encore jamais goûté les thés Løv Organic… Je connaissais juste leur joli packaging épuré à l’esprit très scandinave (« løv » veut dire « feuille » en Scandinavie), il me semblait bien qu’ils étaient bio, mais c’est tout. Et puis la semaine dernière, j’ai eu la chance de recevoir un petit colis fort bien fourni en thés de toutes sortes. Du thé noir, du thé vert, des thés aromatisés, des mélanges fruités, de quoi tester quantité de nouvelles saveurs.

Le moins que l’on puisse dire, c’est que lors de notre séjour à Gozo, l’office de tourisme de Malte nous a sacrément chouchoutés, et ce jusque dans le choix de notre hébergement. Nous avons posé nos valises durant ces quatre jours à l’hôtel Kempinski à San Laurenz. Chambres immenses (le lit devait faire facile 240 de large), vue sur la piscine et ses palmiers, spa et jacuzzi à disposition… Sans oublier un petit déjeuner de dingue dont j’ai largement abusé profité ! Situé un peu en retrait de la côte, tout n’y était que luxe, calme et volupté…

 

Ah les ravioles… en bonne pastavore qui se respecte, j’en suis folle et mon meilleur souvenir reste celles que j’ai mangées directement là où elles « poussent » : à Romans (en avril 2008, au festival des blogs, bon sang, ça ne nous rajeunit pas tout ça !) (tu te souviens, Dom ?).

Après une cure intensive de trois jours, j’en avais ramené tout un stock à la maison que nous avons dévoré avec de la crème, toutes sortes de formages fondu, classique mais efficace…
(billet sponsorisé)

 

(Mon Carnet de Recettes en français dans le texte, mais j’ai le droit de me la péter en anglais, ce bidule vient de l’autre côté de la Manche)

J’avais ce joli carnet depuis, pfiou, trois ans ? Je l’avais commandé sur Amazon UK un jour de frénésie de shopping papèterie, ça avait été toute une histoire pour me le faire livrer, et depuis, bien évidemment, je n’y avais pas touché.
J’avais quinze ans de recettes glanées ça et là, sur des petits bouts de papier, des morceaux de carton, des photocopies pourries. Quinze ans de recettes testées et approuvées, faites et refaites, quand on n’est pas une star de la cuisine, finalement, ça n’en fait pas tant que ça.

Il ne me manquait plus qu’un peu de motivation, quoi…

 

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