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Retour de la rubrique du ciné club, après presque 6 mois d’absence… je ne sais pas si c’est la saison des galas de danse qui veut ça, mais aujourd’hui j’ai eu envie de vous parler d’un film culte (une série télévisée des années 60, en fait) qui a fortement marqué mon enfance : L’Âge Heureux, de Philippe Agostini, d’après le livre d’Odette Joyeux.

Quand j’ai appris qu’il était sorti en DVD, j’ai fait des pieds et des mains pour me le procurer. J’ai fini par le dégoter sur ebay, je n’étais pas peu fière de ma prise !

Mamzelle a immédiatement accroché avec cette histoire de petits rats de l’Opéra, malgré le noir et blanc, malgré l’époque qui remonte à l’enfance de ses grands-parents. Alors faisons avec elle une petite balade sur les toits de l’Opéra Garnier, si vous le voulez bien…

C’est peu dire que ce film a bercé mon enfance. A la maison, le Roi et l’Oiseau passait en boucle sur le magnétoscope familial jusqu’à ce que la fragile cassette décède d’usure prématurée. Mes petits frères et moi ne nous lassions pas de le regarder, encore et encore. Au point d’en connaître les dialogues et les chansons par cœur. Au point d’inclure certaines répliques dans notre panthéon personnel et de nous amuser à les échanger dans un clin d’œil de connivence enfantine.

Dorothy est une jeune orpheline, élevée dans une ferme du Kansas par sa tante et son oncle. Son petit chien Toto est persécuté par la méchante Miss Gulch, mais personne ne semble prendre au sérieux les craintes de la jeune fille. Miss Gulch finit par s’emparer de Toto avec l’intention de le tuer. Mais le chien s’échappe et retourne près de Dorothy qui décide alors de s’enfuir. Sur le chemin, elle rencontre le professeur Marvel qui parvient à la persuader de retourner auprès de sa famille.

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