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Pour continuer dans la lignée du billet précédent, voici une idée pour occuper nos loustics un prochain jour de pluie. Le Marchand de Sable est un film d’animation allemand et danois réalisé par Jesper Moller et Sinem Sakaoglu. Destiné aux plus jeunes, sa sortie en salle est prévue le 9 février prochain, et en découvrant les premières images, j’ai été charmée par les bouilles des personnages (notamment le mouton et ses bouclettes, irrésistible !) ainsi que par la douceur de leur petit monde naïf et coloré…

Hier, je vous racontais l’histoire de ce fabuleux film que j’adore, et qui a également subjugué mes trois Korrigans. Depuis qu’ils l’ont découvert en cours de danse, puis en intégralité à la maison, nous avons des Gene Kelly, des Donald O’Connor et des Debbie Reynolds en devenir dans le salon !

Aujourd’hui, penchons-nous sur les scènes mythiques du film, ou du moins les préférées de ma petite tribu…

 

Depuis toute petite, j’ai été bercée par les comédies musicales et les vieux classiques hollywoodiens. Ma mère n’était peut-être pas du genre à faire des ateliers pâtisseries ou à m’emmener au square, mais le cinéma, c’était son truc. Et quand elle ne m’y emmenait pas, j’avais droit à des séances canapé/magnétoscope très régulièrement.

Chantons sous la pluie fait partie de mes films préférés, je le connais pas cœur. Étrangement, je n’avais encore jamais pensé à le regarder avec mes Korrigans…

 

J’étais complètement passée à côté de ce dessin animé, lorsqu’il est sorti sur grand écran en août dernier. A vrai dire, à quelques rares exceptions près, nous n’allons quasiment jamais au cinéma durant l’été, notre truc c’est plutôt la plage ou les soirées sur la terrasse chez les copains. Donc Samy, jamais entendu parler. Mais en regardant le DVD récemment envoyé par le Studio Canal, j’ai presque regretté de ne pas avoir découvert les aventures de cette petite tortue sur grand écran plutôt que sur ma petite télé…

 

Alors là, je suis vexée, vexée, vexée… Depuis toujours je me prends pour une fille super cinéphile et je n’en suis pas peu fière. C’est vrai, quoi, moi ma mère elle ne m’emmenait pas au parc de jeu comme la majorité des enfants, non, dès mon plus jeune âge, son activité préférée, c’était de me traîner dans tout un tas de cinoches. Au lycée, dès que j’avais une aprem de libre, on se faisait une toile toutes les deux. Et quand mes parents ont investi dans une parabole et un abonnement Canal Cinéma, on s’est enfilé des films de toutes les époques par paquet de douze…

 

L’opé Canalplay touche à sa fin… depuis août dernier, je joue à l’ambassadrice et vous présente mes coups de cœur, mois après mois. C’était assez amusant à faire, car cela m’a permis de découvrir de vrais petits bijoux sans sortir de chez moi. Après plus de six mois d’utilisation, je suis vraiment satisfaite de ce système de vidéo à la demande, c’est pratique, rapide, et ne coûte pas très cher (4,99€ au maximum, les films moins récents sont encore meilleur marché). Bref une expérience des plus concluantes… il ne manque qu’une version Mac pour que le service obtienne 10/10 !

 

Comme la rubrique « Ciné-club des Korrigans » peut en témoigner, dans la famille on est un peu accro au lecteur DVD… Vieil atavisme familial, sans doute : petite, ma mère ne m’emmenait pas au bac à sable, mais au cinéma, c’était notre sortie entre filles. En tout cas, question de génétique ou pas, mes enfants sont friands de dessins animés et films pour enfants en tout genre, sélectionnés avec soin, et visionnés, re-visionnés et re-re-visionnés jusqu’à l’épuisement du disque. Heureusement, les cadeaux d’anniversaire et de Noël sont là pour renouveler régulièrement le stock…

Mon voisin Totoro fait partie, avec le Roi et L’Oiseau, de mes dessins animés préférés pour la vie. Il n’est pas si ancien que ça, car s’il est sorti au Japon en 1988, on n’a pu le voir en France que 11 ans plus tard, en 1999. Et pour ma part, je ne l’ai découvert qu’il y a quelques années, en 2004 ou 2005. Mais qu’importe, je trouve que cette petite merveille aimée des petits comme des grands a sa place toute trouvée dans le Ciné Club des Korrigans !

 

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