Tag

les vacances c’est fatigant

Browsing

Vendredi 11 novembre, nous nous réveillons sous un soleil radieux, Janet notre hôte nous a concocté un fabuleux petit déj home made, et Jim, son mari nous a donné tout plein de conseils et astuces pour profiter pleinement de notre journée. Le programme du jour est chargé : nous prenons le promène-couillon local pour découvrir Bay of Islands et ses innombrables îles, et pourquoi pas, voir quelques dauphins…

 

Deuxième jour, nous mettons les voiles vers le nord, direction Paihia et sa Bay of Islands.

Sur le papier, c’est rapide : 230 kms. Mais les routes néo-zélandaises sont traitres : non seulement on roule à gauche, mais en plus ça tournicote pas mal. On nous a prévenu, on en a pour au moins trois heures et demi. Alors on prend notre temps et on admire le paysage…

 

Et voilà, après un bien long voyage de 21 heures, nous avons enfin posé le pied sur le sol néo-zélandais. Un accueil comme il se doit par les All Blacks (version affiche géante à la descente de l’avion, hein, mais c’est mieux que rien), une séance de papotage avec les douaniers les plus sympas qu’il m’ait été donné de croiser, nous récupérons valises et clés de voiture, et c’est parti pour notre folle aventure kiwi !

 

Avant de passer aux choses sérieuses (je n’en peux plus de teaser la Nouvelle Zélande, je sais, c’est mal), faisons si vous les voulez bien une petite étape à Hong Kong. Escale d’une journée à l’aller, c’était l’occasion de nous dégourdir les pattes en dehors de l’aéroport après onze heures de vol…

 

Deux semaines et demi passées loin de la maison et des Korrigans, 14 jours à l’autre bout de la Terre, 21 heures de vol à l’aller, 23 heures de vol au retour, une journée à Hong Kong, douze heures de décalage horaire, 2200 kilomètres de routes qui tournicotent à bord d’un mini kart Suzuki, 2200 photos à trier, des paysages grandioses, la mer, la montagne, la forêt, des volcans…

 

C’est presque devenu une tradition maintenant. Depuis quelques temps, à chaque vacances de Toussaint, nous nous retrouvons, les copines, leurs enfants, les Korrigans et moi à la fête foraine. De préférence le mercredi, c’est tarif réduit, et dès l’ouverture, pour éviter la foule. Je finis même par aimer ça, le bruit, le monde, les odeurs de friture, la musique qui hurle et les couleurs criardes…

 

Pin It