Tag

greluche forever

Browsing

J’ai donc lâchement abandonné ma petite famille cette fin de semaine pour aller faire la greluche à Paris. Un petit séjour rapide, programmé de longue date mais sur lequel sont venus, au dernier moment, se greffer tout un tas de rendez-vous supplémentaires. Je peux vous dire qu’avec mon emploi du temps plus que chargé, mon déplacement était largement rentabilisé. Le revers de la médaille, c’est qu’il restait peu de place aux imprévus… Et comme j’ai franchement surestimé mon sens de l’organisation, j’ai passé mon temps à courir partout.

 

Je ne suis pas (trop) du genre maniaco-obsessionnelle, mais j’avoue bien volontiers avoir du mal à me passer de certains petits rituels. Ma sacro-sainte pause de l’après-midi en est un, par exemple. Sur les coups de quinze, seize heures, je mets en marche ma bouilloire, je sors une tasse et je me bidouille un petit réconfort sucré qui va me booster la fin de ma journée.

Je ne pensais pas y être tant accro, mais après avoir carburé tout l’hiver au hot chocolate hyper mousseux, je me suis trouvée fort démunie, à la limite de la crise de manque, quand mon mousseur à lait de compète a rendu l’âme…

Ces derniers temps, ma boîte mail est littéralement assaillie par une quantité phénoménale de communiqués de presse, et la plupart ne sont absolument pas ciblés. C’est bien simple, je reçois désormais plus de CP non sollicités que de spams pour du V*agra !

Alors souvent je râle de perdre autant de temps à trier le bon grain de l’ivraie, mais parfois, j’avoue, je tombe sur de vraies petites pépites. C’est le cas du dernier bouquin japonais des éditions Paumes, Bureaux à la Maison dont les extraits présentés sur le communiqué m’ont instantanément tapé dans l’œil. Ni une, ni deux, j’ai demandé poliment s’ils pouvaient m’envoyer un exemplaire presse, et à ma grande surprise, quelques jours plus tard, j’en ai reçu un dans ma boîte aux lettres. Cool ! (comme quoi, il ne faut jamais hésiter à demander, au pire tu te prends un râteau, au mieux, te voilà pourvue d’un bien joli bouquin)…

 

Il y a quelques temps, on a proposé à quelques blogueuses, dont je fais partie, de tester la célèbre machine qui palpe roule plus vite que son ombre, la rolls anti-capiton, le dégommeur ultime de bourrelet, j’ai nommé le CelluM6. Le deal passé entre LPG et nous c’est : « Dis-nous si oui ou non ça marche avant l’été » avec au programme six séances de soin réparties tout au long du mois de mai.
Curieuse comme je suis, cette mission, forcément je l’ai acceptée.
(autant dire qu’entre la diététicienne, la reprise du footing et la cure de palper rouler, je me fais l’effet d’une warior prête à tout pour l’opération bikini de cet été… A voir si les résultats suivent…)

J’ai découvert les jolis bijoux Un Oiseau sur la Branche chez mes copines de blog Violette et Vert Cerise. C’était il y a quelques mois, et sous le charme, je m’étais empressée de commander le délicat petit collier éponyme. Je vous l’avais déjà montré ici, et depuis, il ne me quitte plus. Alors quand Frédérique m’a contactée pour organiser un petit concours et vous faire gagner trois bijoux issus de sa jolie boutique, je n’ai pas su résister !

 

Ça m’a pris comme ça, sans prévenir, il y a dix jours. Tout d’un coup j’ai eu envie de courir. Moi dont le dernier footing remonte à plus de dix ans, moi qui ai acheté ma dernière paire de baskets pour l’épreuve du bac. EN MILLE NEUF CENT QUATRE VINGT DOUZE. Je n’ai toujours pas compris d’où venait cette envie subite, ce besoin impérieux. Un inexplicable surplus d’énergie ? Un effet secondaire de mon régime alimentaire teuton ? Mystère…

Pin It