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Après toutes ces péripéties, mon petit séjour parisien s’est déroulé bien plus sereinement, heureusement. Outre une agréable après-midi dans les magasins, il a été pour moi l’occasion de découvrir enfin un endroit dont j’avais beaucoup entendu parler : le Secret Square. Je ne vous cache pas que j’étais certes curieuse, mais que j’avais aussi un peu d’appréhension à l’idée d’y passer une soirée entière, ne sachant pas trop où j’allais mettre les pieds. Pas que je sois particulièrement prude ou coincée (encore que), mais je ne suis pas une habituée des clubs d’effeuillages, cabarets burlesques et autres temples du glamour à forte teneur en filles dénudées…

 

Après l’épisode foireux des billets de train, n’allez pas croire que ma folle aventure parisienne s’est arrêtée là. Parce qu’une autre conséquence de cette organisation à l’arrache au tout dernier moment a été de régler l’épineuse question du « bon sang, où c’est qu’on dort ? C’est Galliane qui s’en est chargé, et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elle n’a pas eu la tâche facile…

 

Je connais Dom depuis bientôt presque 3 ans. On se lisait mutuellement, et quand on s’est enfin rencontrées pour de vrai, par un froid matin de mars 2008, sur le chemin du Futuroscope, on s’est tout de suite entendu comme larronnes en foire. Ensuite il y a eu cette fameuse traversée de France par les chemins de traverse qui scella dans le roc (et la neige) le début d’une belle amitié, et tout un tas d’autres aventures qui nous ont encore rapproché. Jusqu’à notre récent séjour chez elle, à Dakar…

 

A Dakar, pendant une semaine, c’est bien simple, j’ai vécu pieds nus. J’ai quitté mes vieilles Docs et mes chaussettes en laine à peine arrivée chez Dom, et je ne les ai remises que 5 minutes avant de repartir à l’aéroport. Batifoler en tongs ou en spartiates en plein mois de novembre, ya pas à dire, c’est complètement jouissif.

Et comme Dom et moi, on est non seulement des vraies filles, mais aussi de vraies blogueuses vernis addict, on s’est fait un petit plaisir, histoire de batifoler chic : la pédicure qui va bien…

 

Oui, je sais, il est encore un peu tôt pour penser aux fêtes de fin d’année. Mais que voulez-vous, lorsque nous étions à Ikea samedi dernier, et que je suis tombée nez à nez avec toutes leurs petites déco de Noël trop mignonnes, il y a un truc qui a du switcher dans mon cerveau, je suis devenue complètement hystérique ! Il fallait me voir errer dans les rayons, l’œil exorbité, la bave aux lèvres… À ma décharge, c’est la première fois que j’y mettais les pieds à cette période, je ne m’étais pas préparé psychologiquement !

 

Les cosmétiques bio et moi, c’est une histoire d’amour qui dure depuis longtemps… et comme tester des nouveautés, c’est mon dada, c’est avec grand plaisir que j’ai reçu la dernière gamme à l’aloe vera et à la criste marine de Garnier, qui se lance enfin dans le bio !

J’ai tout d’abord commencé par scruter attentivement les étiquettes. Chez moi, c’est un réflexe systématique, parce qu’il est facile de se la raconter bio en proposant des produits qui ne contiennent que le minimum requis pour obtenir le label tant convoité (soit 10% d’ingrédients bio). Chez Garnier, pas de blague, il y a 20% minimum d’ingrédients issus de l’agriculture biologique, excepté le démaquillant pour les yeux qui en contient 12% (logique, car il contient beaucoup d’eau, qui n’entre pas en ligne de compte dans le calcul des pourcentages). C’est donc du vrai bio, bien évidemment exempt de parabens, de silicones, de colorants ou d’huiles issues de la pétrochimie.

Dès que j’ai vu les photos de la dernière campagne Gérard Darel, j’ai su… ce pull Marilyn, je le voulais, il me le fallait. Vieille réminiscence d’une des (nombreuses) idôles de mon adolescence, souvenir encore vivace de ce film avec Yves Montand que j’avais adoré, et de cette chanson… My Hearts belong to Daddy.
Et puis, juste avant de foncer dans une boutique Darel ventre à terre, écume au bord des lèvres et carte bleue en ébullition, je me suis rappelé…

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