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greluche forever

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Il y a fort fort longtemps, pas aux débuts de ce blog, mais presque (2007, en échelle de blog, c’est presque le moyen âge), j’avais commencé une série de billets intitulés « Telle mère, telle fille ». Le tout premier billet concernait déjà des Bensimon, c’est vous dire si c’est une longue histoire d’amour entre ces tennis, et ma fille et moi. C’est juste qu’en 2007, la différence de pointure entre nous deux était nettement plus importante qu’aujourd’hui. Ah, et on les portait plus volontiers à élastique qu’avec des lacets…

Aujourd’hui, en 2013, on continue à porter des Bensimon, et plutôt deux fois qu’une… Les dernières venues dans notre doux foyer sont ces petites merveilles créées en collaboration avec le journal Milk.

Pour finir la semaine en beauté, voici une sélection de jolies petites choses qui égayent mon quotidien… ma coque iPhone en bambou Snugg, parfaite, ou encore cette adorable petite maison porte-clés oiseaux offerte par autreshop.com…

Je ne sais pas comment font les nailistas… Se vernir les ongles tous les jours ou presque, ok, ça demande du temps mais c’est assez amusant et puis c’est une activité comme une autre, après tout. Non, moi la question que je me pose, c’est comment font-elles pour ne pas abîmer leurs jolies petites mains. Parce qu’en ce qui me concerne, il a suffi de quelques manucures successives cet hiver pour que je me flingue complètement les ongles !

Je n’ai pourtant jamais eu ce type de problème auparavant, et il ne me semble pas avoir particulièrement abusé de vernis hautement toxiques. Mais le constat fut sans appel : ongles striés, dédoublés, cassants puis cassés, groumpf, mes mains ont fini dans un piteux état.

Je ne vais que très rarement aux évènements parisiens auxquels je suis invitée… souvent parce que cela tombe à des dates impossibles pour moi, mais surtout parce que c’est loin. Cette année, j’ai du en faire, quoi, deux, trois ? (oui, trois, Bensimon, Petit Bateau et le Club Med). Je dois dire que ça m’arrange assez, finalement, car même si ces soirées sont toujours très agréables à vivre, il n’y a pas forcément toujours de quoi raconter ici (bon et puis j’ai un agenda familial déjà naturellement chargé, inutile d’en rajouter ^__^)

C’est un peu pour toutes ces raisons que j’ai hésité à répondre à l’invitation de JolieBox mardi dernier. Sans compter que je ris encore de ma précédente (et unique à ce jour) expérience en matière de soirée beauté il y a trois ans. Mais comme JolieBox est une boîte (haha) que j’aime bien, avec qui j’ai déjà eu plaisir à collaborer, et qu’ils nous promettaient plein de surprises, j’ai laissé ma curiosité l’emporter.

Hop, un nouveau petit tour dans ma salle de bains, parce que depuis cet hiver il y a eu pas mal de nouveautés, et de chouettes découvertes… (et comme demandé la dernière fois, je vous parle aussi des produits qui ne m’ont pas convaincu plus que ça !)

Côté visage, donc, voilà ce que j’utilise au quotidien, ou presque : la crème Premier Cru Caudalie, la crème Hydrance Optimale Avène, le contour des yeux Vinosource Caudalie, l’embellisseur Sublimes Baies Rouges Sanoflore…

Avant de vous narrer nos vacances au Maroc dans le détail (il faut que je trie mes 1800 photos et que je dérushe mes 2h14 de vidéo avant), laissez-moi vous raconter l’histoire de ce petit pouf rose fluo…

Donc ce petit pouf, il m’a littéralement sauté aux yeux, au détour d’une petite échoppe planquée au fin fond du quartier des Habous, à Casablanca. Je n’avais pourtant pas du tout prévu de ramener ce genre de souvenirs, non moi mon créneau c’est plutôt les pâtisseries marocaines et les chaussures sur mesure (je vous en reparlerai) mais là, allez savoir, il était posé au milieu d’un tas d’autres petits poufs de toutes les couleurs possibles et imaginables, c’est sans doute ce rose flashy qui a attiré mon regard.

Je suis une fille à Bensimon depuis le lycée, au tout début des années 90 (il y a donc plus de vingt ans, vas-y, moque-toi Jeremy !). À l’époque, le top de la hype c’était les modèles à élastique, là, sur le cou de pied, et je me souviens avoir fait des pieds (hahaha) et des mains pour m’acheter ma première paire dans une boutique hyper chic de la rue de la Pomme, à Toulouse. Ma copine Caro avait les même, on cranait trop avec nos petites merveilles aux pieds.

Depuis cette lointaine époque, donc, je n’ai cessé de porter chaque été ces mythiques petites tennis en toile, en blanc souvent, à fleurs parfois, avec des lacets quasi toujours… J’en ai profité au passage pour contaminer ma douce et tendre Mamzelle qui affiche à son tour bon nombre de paires à son palmarès.

Alors forcément, quand Bensimon m’a invitée à venir passer une soirée dans leurs locaux, et avec Monsieur Serge Bensimon himself, s’il vous plaît, je ne me suis pas faite prier ! (j’y suis même allée en Vélib avec Camille, c’est vous dire si j’étais prête à tous les risques pour une telle rencontre ^__^)

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