C’est la dernière ligne droite avant Noël, et pour finir de se mettre dans l’ambiance, voici une petite recette ultra-gourmande qui fait tellement de bien après une balade…
Je ne suis pas une pure et dure de la détox habituellement, mais cette année, après un jour de l’an plus que gourmand dans le Gers (et une…
Je ne suis pas une grande fan de café, mais lorsque je vais à Paris, il m’arrive de succomber à l’attrait du latte chez Starbucks. Du lait, du…
Je ne suis pas (trop) du genre maniaco-obsessionnelle, mais j’avoue bien volontiers avoir du mal à me passer de certains petits rituels. Ma sacro-sainte pause de l’après-midi en est un, par exemple. Sur les coups de quinze, seize heures, je mets en marche ma bouilloire, je sors une tasse et je me bidouille un petit réconfort sucré qui va me booster la fin de ma journée.
Je ne pensais pas y être tant accro, mais après avoir carburé tout l’hiver au hot chocolate hyper mousseux, je me suis trouvée fort démunie, à la limite de la crise de manque, quand mon mousseur à lait de compète a rendu l’âme…
A force de surfer sur le web, j’ai fini par rejoindre la secte des adorateurs du mousseur à lait. Tout a commencé par un billet fort alléchant de Coco Cerise, suivi peu de temps après par la version hyper documentée d’Anne-So. Toutes les deux ne jurant plus que par leur mousseur à lait pour se concocter de délicieux Latte comme au Starbucks. Comme je suis moyennement fan de café (le cappuccino Carte Noire Senséo me suffisant amplement), j’ai tout de suite vu une variante encore plus gourmande : le chocolat chaud ultra mousseux.