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Devant le succès du burnous de bain de Miniloup, je ne pouvais pas ne pas en faire pour le reste de la tribu. J’ai opté pour une version bicolore pour Petitou, en taille 6 ans. Grâce aux conseils avisés d’Odette, j’ai pu le coudre à toute vitesse. Je ne vais pas tarder à devenir la pro du burnous… Ca tombe bien, Mamzelle a passé commande, et il faut que je me dépêche, la taille 8 ans ne lui ira pas bien longtemps !

Il m’en aura donné du fil à retordre, ce petit burnous de bain Citronille ! Commencé en mai dernier, interrompu pendant les vacances, repris à la rentrée du cours de couture, j’ai bien cru que je n’y arriverais jamais !

Il faut dire que les explications du livre Les Intemporels pour Enfants n’étaient pas très claires (pour moi, tout du moins) et qu’Odette, ma prof de couture, a décidé de me le faire faire autrement. Du coup, impossible de continuer toute seule chez moi…

Et voilà, j’ai cousu mon premier vêtement !

Pour ne pas que ça traîne pendant des lustres, j’ai choisi volontairement un modèle très simple, maintes et maintes fois vu dans la blogobricole : la tunique / tablier croisé Elsie dont le patron vient du livre Les Intemporels pour Enfants. J’ai trouvé les tissus chez Myrtille, du pur coton à un prix dérisoire (5€ le mètre il me semble).

Bon, ça va bien 5 minutes les nappes, les housses de coussin, les pochons, j’ai maintenant envie de passer à la vitesse supérieure et de m’attaquer à la confection de vêtements, pour de vrai. Et pourquoi pas habiller mes Korrigans avec ?

En me baladant sur le net, un nom revenait souvent : Citronille. Je suis allée sur le site, et j’ai craqué sur ces modèles tous simples et si jolis. J’ai donc décidé d’investir dans le livre de la miss qui tient boutique : Intemporels pour Enfants d’Astrid Le Provost.

C’est toujours le bazar quand on doit préparer les valises. On plie tout bien les tshirts, les pulls, les pantalons ou autres jupes, mais quand il s’agit d’ajouter les chaussettes et la lingerie, tout se retrouve en vrac, éparpillé. Et ça, ça m’énerve.

Ma copine Dom, qui a une longue habitude des voyages long courrier, et qui déteste par dessus tout les fouilles des douaniers, a trouvé la solution : elle emballe tout, de ses pantoufles au sèche-cheveu, dans des pochettes et des pochons individuels. C’est bien rangé, tu retrouves tes affaires au premier coup d’œil (enfin, à condition de se souvenir que dans telle pochette il y a tel truc, évidemment !).

Comment ça, j’avais dit que le coussin en patchwork ne comptait pas ? Ça c’était avant le cours de couture de mardi dernier… figurez-vous que pour finaliser cette petite œuvre d’art (réalisée à la main et commencée en 1996, ne l’oublions pas), Odette m’a proposé d’y coudre un zip, histoire de rendre l’ensemble déhoussable et donc plus facile à laver si d’aventure un Korrigan, ou tout autre personnage malveillant, venait à y laisser couler du chocolat chaud, ou n’importe quelle trace indésirable de confiture.

2ème cours de couture avec Odette, et déjà quelque chose à vous montrer (le coussin, ça ne compte pas), c’est pas chouette ça ?

J’ai donc dégoté un joli tissu 100% coton à rayures multicolores comme je les aime. L’idée au départ était de m’en faire une simple nappe carrée (150 x 150), zou 4 ourlets et on n’en parle plus, et avec le reste de tissu, coudre quelques serviettes assorties.

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