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Tous les vendredis soir, Mamzelle et moi prenons nos cours de danse classique au conservatoire. Les deux cours s’enchaînent, nous restons donc toutes les deux sur place. Pendant que Mamzelle danse, je bosse un peu, ou plus souvent je glandouille avec mon iPhone greffé à la main dans un fauteuil moelleux. Puis vient mon tour, et pendant ce temps-là, Mamzelle fait ses devoirs et mange un petit pique-nique dans le grand hall. Une fois qu’elle a terminé, elle vient me rejoindre dans la salle de danse, et assiste à la fin de mon cours.
Une organisation bien rodée qui se répète sans accroc, semaine après semaine…

 

Pendant ce temps-là, les travaux continuent… Nous rêvons toujours d’avoir une fenêtre qui s’ouvre et des volets roulants qui ferment (à moins que ce ne soit l’inverse ?) mais il semblerait que le dieu de la menuiserie ait décidé de tester notre patience, avec les pénalités de retard qui vont bien. Mais nous ne nous laissons pas abattre. En attendant, c’est au tour du garage de reprendre figure humaine…

 

Deux ans après tout le monde, j’ai acheté un boyfriend jeans. Ce qui n’est pas très étonnant quand on sait que je porte toujours mes flare de 2008 (même si apparemment ils reviennent à la mode cet automne) et que les slims n’ont guère le droit de cité dans ma commode Ikea en pin made in 1994.

Bref, tout ça pour dire que je ne sais pas ce qu’il m’a pris, sans doute qu’à force d’être boudinée dans mes flare de 2008 (et je ne parle même pas des slims, pour le coup), j’ai eu envie de confort. Et qu’après 2 ans à regarder les boyfriends des autres d’un œil circonspect, je me suis fait à leur esthétique particulière (je vous rassure, on parle toujours de pantalons, là).

 

A la naissance de Miniloup, il y a bientôt cinq ans, nous avons basculé dans le clan très envié des familles nombreuses.

La famille nombreuse, si on met de côté le changement obligatoire de voiture, la croissance quasi-exponentielle des lessives à faire, la galère pour organiser les vacances où toute offre familiale ne concerne que les familles à DEUX enfants, c’est super cool. C’est super cool parce que, ayé, tu as droit à la carte famille nombreuse. Et tu es super content parce que grâce à cette carte mythique, voire quasi magique, tu vas avoir droit à tout plein de réducs trop chouettes et ça sera merveilleux…

 

L’été, je fais vraiment n’importe quoi.
L’année dernière, déjà, je n’avais pas hésité à mettre tous mes principes fashion de côté pour acquérir une mâââgnifique paire de Birkenstock. OK, j’avais les pieds en sang et c’était sans doute leur paire la moins moche, mais tout de même… Des Birk ! Berk ! Moi qui ai tellement moqué la marque emblématique des touristes allemands en goguette (et en chaussettes…)

 

Je suis sûre que vous connaissez Manu, la sémillante blogueuse quinqua, un brin mégalo et complètement déjantée ? Eh bien, j’ai un scoop sur elle qui en étonnera plus d’un ! Figurez-vous que cette grande fofolle ne fait pas que raconter des bêtises à longueur de journée sur twitter et sur son blog, il lui arrive parfois d’avoir de bonnes idées. Si, si.

La preuve ?

Un matin, on ne sait pas trop où elle est allée pêcher ça, mais elle a décidé de lancer le #NoShoppingMonth…

 

Depuis que toute gamine un chat basque et féroce m’a sauvagement lacéré la guibole de haut en bas, j’ai une peur bleue des chats. Les voir tourner autour de moi me flanque limite des palpitations, je suis infoutue de les prendre dans mes bras, sur les genoux, ne m’en parlez pas. Mais allez savoir pourquoi, visiblement, les chats m’adorent.
Dès que j’en croise un, il ne peut s’empêcher de venir se frotter à moi, de quémander des caresses, de miauler sous mon nez…

 

J’ai eu une fin de semaine hyper chargée, avec un aller-retour imprévu à Paris sur la journée de vendredi. Alors comme je suis une fille hyper organisée (?), j’ai commencé à préparer dès le jeudi soir nos costumes pour le spectacle de danse de samedi. Et je pense que j’ai bien fait, car avec deux chorégraphies pour Mamzelle, une pour Petitou et quatre pour moi, pas question de se louper niveau logistique.

Du coup, samedi matin, après une trop courte nuit (rentrée à 2h du mat et réveillée par un coup de fil à 8h, ça pique un peu), je n’étais certes pas très fraiche, mais j’étais plutôt sereine quant au déroulement des opérations. J’avais rendez-vous à 11h au théâtre pour mettre en place les décors et les coulisses avant la grande répétition générale, autant dire que j’étais largement dans les temps.

 

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