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les vacances c’est fatigant

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Pour cette deuxième journée à Disneyland, direction les Walt Disney Studios. Une vraie découverte pour nos Korrigans qui n’y avaient encore jamais mis les pieds. Pour nous aussi, ou presque, car notre précédente visite de ce second parc remontait à 2002… Je n’en avais d’ailleurs pas gardé un souvenir impérissable. Mais en dix ans, les choses ont changé, et dans le bon sens, on s’est vraiment bien amusé !

 

Dimanche soir, dans la cuisine de Mutti et GrandPa, après un riche week-end passé chez les cousins de Paris, nous avons annoncé aux Korrigans que nous ne rentrerions pas en Bretagne le lendemain comme prévu, mais que nous allions passer les deux prochains jours à Disneyland.

Je vous laisse imaginer les cris stridents et les sauts de joie que cette petite surprise a provoqué chez nos trois enfants !

 

Tous les mois, j’aime vous préparer un petit « J’aime / J’aime pas » de derrière les fagots, sorte de compile subjective et saisonnière de ce qui me plaît ou au contraire me rebute, et qui revient chaque année. Mais ce mois-ci, je suis bien embêtée. Oui parce que je déteste le mois de février… c’est sans aucun doute le moment de l’année que je vois arriver avec crainte et qu’il me tarde de voir se terminer le plus rapidement possible !

 

Suite de notre périple au pays des kiwis… après avoir quitté nos hôtes à Hot Water Beach, direction le sud, toujours, et l’incontournable Rotorua, berceau de la culture Maori. Mais nous ferons une petite entorse à notre programme (déjà bien chargé) quand nous apprenons que le site Hobbiton (l’endroit où ont été tournées pas mal de scènes du Seigneur des Anneaux) est ouvert. En effet, le tournage du prequel du Seigneur des Anneaux, The Hobbit, s’est terminé trois jours avant, et le site est ouvert au public après de longs mois de fermeture. Autant vous dire que pour des fans de la trilogie de Tolkien, c’est du pain béni !

 

Dans ma famille, on ne fait pas les choses à moitié… Comme nous étions 24 le 24 (ainsi que la veille, et le lendemain), mes parents n’ont rien trouvé de mieux que de louer une sorte de centre de vacances au fin fond des Pyrénées. La rusticité des lieux, à l’image des matelas en bois, des douches communes, du chauffage aléatoire et de l’absence complète de canapé ne nous ont pas empêché de passer quand même de bons moments en famille…

 

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