Tag

greluche forever

Browsing

Et là, les amis, il promet d’être de compète ce petit week-end. Nous sommes invités par le Relais Thalasso de l’île de Ré pour deux jours en amoureux, jusqu’à dimanche soir. Les Korrigans sont casés chez leurs meilleurs potes, dans la valise on a mis nos baskets pour aller courir, des chaussures bien costaud pour aller marcher, des tongs pour aller avec le peignoir, et une jolie tenue pour dîner aux chandelles demain soir. Je n’ai pas oublié non plus mes magasines de gonzesse, ma pince à épiler, mon appareil photo et… ma moon cup.

 

Or donc, à Noël, MrChéri et moi nous sommes offert un Ipad. L’idée venait de moi, évidemment, alors que depuis sa sortie je clamais à qui voulait bien l’entendre que c’était un gadget dont je n’aurais pas la moindre utilité. J’ai tenu 6 mois, puis comme avec l’iPhone l’année précédente, j’en ai voulu un aussi.
MrChéri, lui, n’y tenait pas plus que ça, mais comme c’est un gars conciliant, et que je sais être particulièrement chiante persuasive quand j’ai une idée dans la tête, il a fini par capituler admettre qu’après tout, pourquoi pas ?

 

Lorsqu’on lit un blog, la question que l’on se pose souvent, c’est si l’auteur raconte la vérité, ou affabule gravement. Pour ma part, c’est bien simple, j’ai pris pour habitude de ne rien inventer. De toute façon, je ne sais pas mentir, ça se sent / se voit tout de suite, sans compter qu’un grand nombre de proches me lit, ils auraient vite fait de me percer à jour et de vendre la mèche. Et puis au départ, quand j’ai commencé à écrire sur ces pages, c’était avant tout pour me souvenir des petites anecdotes de ma vie de famille…

 

Entre le blog et mon boulot de rédactrice free-lance, je « monte » régulièrement à Paris pour de courts séjours et j’affectionne particulièrement ces 24H chrono dans la peau d’une working girl. Je connais désormais la gare Montparnasse comme ma poche, et le métro n’a plus beaucoup de secrets pour moi. Je suis même devenue imbattable sur la préparation de sac express. Et à chaque fois que je grimpe dans le TGV direction la capitale, je suis excitée comme une gamine…

 

Mon plus vieux Tshirt date de 1992, ou 1993, je ne sais plus. Acheté en soldes pour une petite poignée de francs dans une toute nouvelle boutique Célio. C’était la grande mode des Tshirt pour homme, mais j’avais calmé le jeu en le choisissant en toute petite taille, dans un beige chiné intemporel, et en coton côtelé. Notre histoire d’amour a débuté à Toulouse, il m’a suivie à Marseille, puis à Vannes. Cette relique du passé s’est adapté sans broncher aux évolutions de ma silhouette tout au long de ces 18 dernières années…

 

Ne nous voilons pas la face, j’ai 35 ans, toutes mes dents, et une peau qui commence à accuser un peu le coup… Bon, c’est loin d’être la cata, hein, mais désormais je reluque plus souvent qu’à mon tour du côté du rayon antirides. Il y a peu de temps, je vous avais dit beaucoup de bien la nouvelle gamme antirides bio Garnier. Aujourd’hui je continue sur ma lancée du bio à petit prix spécial peau flapie avec cette fois-ci la gamme Biovital de Mixa à l’huile d’argan.

 

Je n’utilise jamais de crème pour le corps. A peine un peu d’huile Nuxe l’été, et encore, le soir après le retour de la plage. Le reste du temps, ça me saoule, je n’y pense jamais, et de toute façon le matin après ma douche c’est à peine si j’ai le temps de retrouver figure humaine. Et puis je déteste cette sensation de coller à mes fringues. Mais cet hiver, il fait tellement froid que j’ai vu rapidement ma petite peau toute fragile se transmuter en vieux cuir de croco tanné au chrome. Alors quand j’ai commencé à desquamer à travers le collant opaque, je me suis dit qu’il était temps d’agir, avant de retrouver, un beau matin, ma mue au pied du lit.

 

L’autre jour, Mamzelle était aux anges. Avoir une maman blogueuse, c’est quand même cool. On découvre de nouveaux jeux, on voyage, et parfois on reçoit même de chouettes cadeaux. Comme cette jolie paire de baskets Faguo reçue il y a peu, par exemple. Sachant que ma fille est en passe de devenir aussi shoes addict que sa mère et qu’à part danser, elle n’aime rien tant que courir et grimper aux arbres, elle était ravie ravie ravie. Et moi aussi. Parce que figurez-vous que ces chaussures ne sont pas de bêtes tennis en toile, elles ont une histoire un peu particulière. La marque est toute jeune, elle a été lancée l’année dernière par deux jeunes français soucieux de l’empreinte écologique et du bilan carbone de leurs « bébés ». Résultat, pour chaque paire de Faguo vendue, un arbre est planté !

rebus-faguo1

 

Pin It