L’objet mystère du mardi soir… Vous avez une idée de ce que peuvent être ces bidules en plastoc ? (ennA, tu n’as pas le droit de souffler la réponse !)
L’objet mystère du mardi soir… Vous avez une idée de ce que peuvent être ces bidules en plastoc ? (ennA, tu n’as pas le droit de souffler la réponse !)
Si vous me lisez depuis un peu plus d’un an et demi, vous vous souvenez peut-être de l’épisode du tshirt Garance Doré et de l’hystérie que sa mise en vente chez Colette avait provoqué chez moi. Eh bien, figurez-vous que ce mââgnifique tshirt auquel je tiens presqu’autant qu’à la prunelle de mes yeux, en un an et demi, j’ai du le porter… allez… cinq fois. C’est moche, hein ?
En mai 2010, j’ai eu la chance de bénéficier d’une séance de relooking par la très chouette équipe du Monde des Parents. Un an après, j’ai eu envie de faire un petit bilan. Parce que la question que je me pose à chaque fois que je vois un reportage ou un article sur le relooking, je me dis, ok c’est sympa, mais est-ce que c’est vraiment adapté à la vie de tous les jours ? Est-ce qu’au bout d’un moment on ne reprend pas ses vieilles habitudes ? Maintenant, en ce qui me concerne en tout cas, j’ai la réponse…
Alors un an après, qu’en est-il ?
J’ai eu de la chance, mes trois grossesses ne m’ont pas trop abîmé la peau. Je ne parle pas de ma silhouette générale qui, elle, a gardé quelques rondeurs superflues, mais niveau épiderme, je ne m’en sors pas trop mal : deux trois vergetures faciles à planquer sous le maillot, et une petite tache brune sous l’œil gauche, souvenir d’un masque de grossesse qui ne s’est pas complètement fait la malle.
Ce n’est pas qu’elle me gênait particulièrement, cette petite tâche, mais située pile au niveau des cernes, elle accentuait encore un peu plus mon air fatigué. Pas de quoi passer par la case laser, on est d’accord, en revanche, c’était la candidate idéale pour le nouveau sérum anti-tache brune Melaperfect que les laboratoires Darphin m’ont proposé de tester…
« Et voilà, c’est fait, ce déprimant et interminable hiver est enfin derrière nous. On pourra dire qu’on l’aura attendu avec impatience, ce joli printemps. Et pour l’instant, la chance est de notre côté, il est en passe de tenir toutes ces promesses : l’air est doux, le soleil brille, et la nature renait à nouveau.
Et ça, ça fait vraiment un bien fou. Je ne sais pas si c’est pareil pour vous, mais moi j’aime tout particulièrement cette période de l’année où tout semble neuf et possible. C’est comme si j’émergeais enfin après de longs mois d’hibernation. J’ai envie de changement et tout me fait envie... »
Il y a dix jours, trois de nos amis ont fêté ensemble leurs 30 ans. Le thème de la soirée : les années 80, celles de leur toute tendre enfance. Sauf que pour notre petite bande de potes nés dans les 70’s, les années 80 représentent plutôt nos folles années d’adolescence ! Résultat, j’étais au taquet pour ma tenue, et c’est peu de dire que j’ai carrément joué le jeu.
Je suis allée puiser dans mes souvenirs de collège pour me rappeler comment on s’habillait à l’époque, ainsi que ce qui faisait fureur dans ma banlieue toulousaine (et que je n’osais pas porter). Et en 1987, cela tenait en peu de mots : badges, fluo, sweats informes, jeans retroussés et mocassins…
Cette semaine, j’ai flashé sur la manucure arc-en-ciel d’Éléonore Bridge. J’avais quasiment tout ce qu’il me fallait, exceptés le vert et le jaune, mais ce matin j’étais non loin d’un Monop. Une petite halte au stand Mavala, et le tour était joué. Seulement voilà, je me suis dégonflée…
En bougeant quelques meubles de ma chambre d’ado, ma mère est tombée par hasard sur l’ancêtre de ce blog. Il prenait la poussière depuis près de 20 ans, coincé derrière une armoire, et j’en avais oublié jusqu’à son existence. Ce vieux cahier jauni avec sa couverture customisée à grands coups de publicités d’époque était pourtant un fidèle confident de mes années lycée, si j’en juge par son contenu et le ton sur lequel je lui parlais…