Dans la vie, il existe deux catégories de personnes : celles qui préparent la rentrée dès le mois de juillet, à peine les cartables remisés dans les placards. Et celles qui font ça à l’arrache, juste avant la rentrée, voire même deux ou trois jours après.

Moi, j’avoue, je ne sais pas trop dans quel camp me situer. C’est un peu selon l’inspiration du moment, la motivation ou même mes disponibilités… Les années se suivent et ne se ressemblent pas. Alors oui, l’idéal serait que je m’y mette le plus tôt possible, histoire d’être débarrassée de cette corvée ! Dans les faits, c’est un peu plus free style. D’où mon intérêt pour tout ce qui peut me faciliter la tâche !
(billet sponsorisé)

Pfiou, cette rentrée a démarré en trombe, et au bout d’à peine trois semaines, me voilà déjà… un peu en vrac ! Voici donc un petit billet fourre-tout, avec des news à la pelle… un peu en vrac elles aussi !

Il y a des années où tout est bien organisé, tiré au cordeau, les chambres rangées, parfois même redécorées, les habits triés, on est super prêts.

Il y a des années (un peu plus souvent) où rien n’est prêt, on fait tout à l’arrache, on stresse, on s’énerve, c’est un peu la panique.

Et puis d’autres, comme cette année, où pas grand chose n’est prêt, mais où on prend ça avec philosophie, après tout, on a passé un bel été, il fait beau, hey, ça va, on ne va pas se mettre la rate au court-bouillon pour si peu quand même ?

Franchement, je n’en reviens pas. Pourtant, cette rentrée s’annonçait tendue…

Oui, OK, c’est bon, je sais, mardi prochain, c’est la rentrée… Qu’est-ce qu’ils ont tous à me mettre la pression avec ça ?

Ça a commencé avant même que l’année scolaire se termine, avec l’envoi des listes de fournitures pour l’année prochaine. Listes que j’ai soigneusement planquées au fond d’un tiroir, bien décidée à laisser passer l’été et à bien profiter de nos vacances.

Mais depuis notre retour, ça n’arrête pas !

Je continue dans ma lancée « je suis hyper motivée pour préparer la rentrée un minimum à l’avance, histoire de passer des vacances vraiment tranquilles » (oui, oui, on y croit !)… en relayant une jolie initiative lancée par Carrefour. En effet, pour la deuxième année consécutive, la grande enseigne lance une opération « Cartables solidaires » pour la rentrée des classes.

Cartables Solidaires, c’est donc une grande collecte nationale de cartables organisée par Carrefour au profit de la coopérative Le Relais et des enfants défavorisés. Ça se déroule du 3 au 23 juillet et pour participer, c’est tout simple : il suffit de déposer un ou plusieurs cartables, en bon état, dans un magasin Carrefour ou Carrefour Market. Ces cartables seront ensuite redistribués gratuitement aux enfants qui en ont besoin grâce à l’association Le Relais. Pour chaque cartable, les donateurs recevront deux bons d’achat Carrefour d’un montant de 5€ chacun…
(billet sponsorisé)

Or donc, vous l’avez compris, nous étions à Paris le weel-end dernier… Invités par Petit Bateau à venir préparer notre rentrée. Rendez-vous était pris samedi après-midi dans la boutique des Champs Élysées pour une séance de shopping un peu spéciale. Imaginez, mes Korrigans avaient carte blanche pour se choisir la tenue de leurs rêves, tout en profitant d’un bon goûter. C’était Noël avant l’heure !

Lâchez trois loustics dans une boutique, et admirez le spectacle…

Comparé à l’année dernière, cette rentrée n’avait rien d’exceptionnel, c’est vrai. Pas de rentrée en CP, pas de découverte du collège. Le CE1, le CM2 et la 5ème, c’est presque la routine…

En tout cas, c’est ce que l’on a tous ressenti ces derniers jours. Pas de stress particulier, les affaires étaient prêtes depuis des jours.

Oui mais une rentrée n’est jamais un jour comme les autres…

Je ne sais pas comment ça se passe pour vous, mais à J-4, nous, on est fin prêts.

Pour Petitou et Miniloup, ça n’a pas été très compliqué, la joie de l’école primaire qui fournit tout le matos. Résultat, ils n’ont besoin de rien, pas même d’un nouveau cartable, les anciens tenant le choc par je ne sais quel miracle.

Quant à Mamzelle, dois-je avouer qu’elle s’est limite auto-gérée ?