À chaque année qui passe, je me pose un peu plus la question… Jusqu’à quand vais-je danser ? Et à chaque fois, la réponse est la même, je danserai jusqu’à ce que je ne puisse plus être en état de le faire. Qu’importe mon âge, qu’importe mon modeste niveau, je crois que je ne pourrais pas vivre sans danser…
Cette année, mes deux mois de coupure estivale m’ont fait du bien. Je me suis même dit que ce serait peut-être le moment, sans mauvais jeu de mot, de lever un peu le pied sur mes cours. Que notre emploi du temps était trop chargé, trop compliqué. Et puis… et puis, j’ai franchi la porte du studio de classique, la porte de la salle de danse contemporaine, et c’est reparti illico.