Je ne suis pas (trop) du genre maniaco-obsessionnelle, mais j’avoue bien volontiers avoir du mal à me passer de certains petits rituels. Ma sacro-sainte pause de l’après-midi en est un, par exemple. Sur les coups de quinze, seize heures, je mets en marche ma bouilloire, je sors une tasse et je me bidouille un petit réconfort sucré qui va me booster la fin de ma journée.
Je ne pensais pas y être tant accro, mais après avoir carburé tout l’hiver au hot chocolate hyper mousseux, je me suis trouvée fort démunie, à la limite de la crise de manque, quand mon mousseur à lait de compète a rendu l’âme…