J’aime Margot Motin, je la suis depuis longtemps, et je connaissais un peu sa sœur Marion, danseuse de hip-hop hyper douée… Je (re)découvre cette dernière dans un registre plus singulier, sur une chanson magnifique de Zazie, et j’adore !
J’aime Margot Motin, je la suis depuis longtemps, et je connaissais un peu sa sœur Marion, danseuse de hip-hop hyper douée… Je (re)découvre cette dernière dans un registre plus singulier, sur une chanson magnifique de Zazie, et j’adore !
J’ai eu la chance, hier après-midi, de pouvoir me glisser dans un petit coin et assister, discrétos Juan Carlos, aux cours de danse de Miniloup et Petitou.
C’était la première fois que je voyais Miniloup danser, et j’avoue, j’étais très curieuse de voir ce que cela pouvait donner. C’était très amusant de le voir évoluer, un peu pataud, au milieu d’une dizaine de bouts de chou de 5 à 6 ans…
Hier, je vous racontais l’histoire de ce fabuleux film que j’adore, et qui a également subjugué mes trois Korrigans. Depuis qu’ils l’ont découvert en cours de danse, puis en intégralité à la maison, nous avons des Gene Kelly, des Donald O’Connor et des Debbie Reynolds en devenir dans le salon !
Aujourd’hui, penchons-nous sur les scènes mythiques du film, ou du moins les préférées de ma petite tribu…
Depuis toute petite, j’ai été bercée par les comédies musicales et les vieux classiques hollywoodiens. Ma mère n’était peut-être pas du genre à faire des ateliers pâtisseries ou à m’emmener au square, mais le cinéma, c’était son truc. Et quand elle ne m’y emmenait pas, j’avais droit à des séances canapé/magnétoscope très régulièrement.
Chantons sous la pluie fait partie de mes films préférés, je le connais pas cœur. Étrangement, je n’avais encore jamais pensé à le regarder avec mes Korrigans…
Ces temps-ci, je lis « Mange, prie, aime » le best-seller d’Elizabeth Gilbert, qui a été adapté récemment au cinéma avec Julia Roberts en tête d’affiche. Je ne sais pas ce que vaut le film, je ne l’ai pas vu, mais le livre est ce qu’on appelle de la vraie lecture de gonzesse. Il n’y a pas de quoi pavoiser, ni même en écrire un article de blog tant ce pavé est plutôt mal écrit (traduit ?) et dégouline de bons sentiments. Disons, pour ma défense, que sa lecture, le soir, sous la couette, fait bien la blague face à Grazia. Ça m’assomme me détend, et me permet de passer une nuit pas trop mauvaise.
Pourtant l’autre soir, j’en étais à me demander si j’allais continuer à lire ce livre…
Et voilà, les multiples activités des Korrigans ont repris cette semaine, finie la tranquillité d’une journée sans école, c’est reparti pour des mercredis de folie…
On pourrait penser qu’à force, je suis rôdée, il n’empêche que j’appréhendais un peu cette reprise. Surtout que j’ai été mise dans le bain tout de suite : dès 9h du mat le plaquiste venait terminer le chantier en fichant du plâtre partout dans ma baraque, et c’est entre deux coups de serpillère que j’ai organisé les va et vient entre la maison et l’école de danse. J’ai même rajouté un petit level de difficulté en gardant les deux loustics de ma cops Vava, en rade de grand-mère cette semaine. Cinq korrigans au lieu de trois (dont un en plein apprentissage de la propreté) ? Easy easy !
A mon humble avis, la plus grosse corvée de rentrée, ce n’est pas le retour à l’école, ni la liste des fournitures, ce ne sont pas non plus les tonnes de paperasses à remplir. Non, la plus grosse corvée, c’est inscrire ses enfants à une activité extra-scolaire. Et là, à part certaines privilégiées, on est un peu tous dans la même galère… A chacun sa méthode, plus ou moins certifiée, plus ou moins foireuse.
Mercredi dernier, c’était le spectacle des petits du conservatoire. Mamzelle et ses copains étaient tout contents d’y participer, après avoir été les plus petits du spectacle des grands, ils étaient cette fois-ci les plus grands des petits, et ça c’était vraiment trop super stylé, tu vois, maman. Zaz m’avait demandé si je voulais bien me charger des photos de la répétition, et comme je ne rate jamais une occasion de m’amuser avec mon appareil, j’étais postée aux premières loges, le nez sur les chaussons, dans les tutus et derrière les pendrillons pour ne rater aucun détail.