Marie Dô est danseuse. Danseuse et métisse, de maman bretonne et de père noir inconnu. Enfant dans les années 60, elle se demande pourquoi toute sa famille a la peau blanche et pas elle, et étouffe sous les secrets et les non-dits. Heureusement, la danse est sa passion, et grâce à elle, la petite fille s’épanouit, elle peut enfin être elle, au delà des préjugés et des différences. Très vite, Marie-Dô part à la recherche de son histoire, et à travers ses rencontres, ses expériences, elle parvient à se hisser au sommet de son art.
Vendredi dernier, c’était un peu la journée qu’on n’aurait jamais osé rêver… La matinée a commencé en beauté avec de la danse moderne chez…
L’objectif premier de notre séjour à New York, c’était quand même de danser… Pas sur scène, pas dans la rue, mais prendre des cours,…
Non, je ne vous mentais, je n’exagérais même pas un tout petit peu… mardi soir, je suis rentrée dans la lumière, comme un insecte fou, avec d’énormes ailes de papillon rose bonbon à paillettes collées dans le dos. Même que c’était beau, même que c’était comme à Brocéliande, même qu’on était des Elfes, mes copines et moi.
Hier soir, le gala de danse de Mamzelle a été mouvementé, surtout en première partie. De petits plantages sur scène, un échange malencontreux de costumes qui manque de virer au pugilat, un chignon qui se défait, et la tension monte, monte.
Heureusement, un solide recadrage professoral en coulisse va calmer tout ce petit monde et le second acte sera un peu plus serein.
Alors donc, samedi, c’était le gala de fin d’année de notre école de danse… que vous raconter, si ce n’est que tout s’est très très bien passé ?
L’année est passée à toute vitesse. Je me vois encore animer l’assemblée générale de l’association, le 5 septembre dernier, les répétitions pour le concours de danse me semblent s’être passées hier, et pourtant nous voilà déjà arrivés au grand jour, l’aboutissement de mois de travail : le gala de fin d’année.