Je vous avouais, il y a 2 ans, que j’adorais Halloween, fête commerciale fraîchement importée d’outre tombe Atlantique, certes, mais donc l’origine celte justifiait quelque peu son succès breton.

Pourtant cette année, le manque de temps et surtout le manque d’envie ont fait que les préparatifs sont complètement passés à la trappe. A quelques heures de la tombée de la nuit, je n’ai toujours pas descendu le carton de décoration du grenier, les bougies sont encore sagement rangées dans le garage et je n’ai pas un seul bonbon à distribuer. Seuls les Korrigans ont décidé de leurs déguisements et ne parlent que de ça depuis le début de la semaine.