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Le 5 octobre dernier, c’était la Sainte Fleur, et j’étais invitée par La Joie des Fleurs à la fêter avec mon amie Olivia. Une belle après-midi en plein cœur de Paris avec des fleurs donc, beaucoup de fleurs, des ateliers créatifs, des gourmandises, c’était beau, ça sentait bon, c’était vraiment très chouette.

Au programme, la confection de bouquets bien sûr….
(un bouquet à gagner en fin de billet)

Depuis que je suis revenue à la maison pour travailler, j’ai vite repris mes marques. Réinvestir mon chouette bureau sous les toits n’a pas été difficile, bien au contraire. Mais les jours et les semaines passant, mon joli espace de travail s’est peu à peu transformé en… ça : un énorme b*rdel ! Ça va, ne dites rien, je sais ce que vous pensez… Ce n’est plus un bureau, mais un dépotoir. Il y en a partout : sur le bureau, sous le bureau, à côté du bureau. J’amasse, j’accumule, j’entasse, j’empile, j’empile, j’empile.

Ça faisait un petit bout de temps que je me disais qu’il fallait vraiment faire quelque chose, mais ce n’était jamais le bon moment. Et puis, hier, ça m’a pris. Ça faisait trois jours que j’étais redescendue travailler dans le salon avec mon portable parce que je ne supportais plus ce bazar. Et surtout, je cherchais un papier super important ans arriver à mettre la main dessus. Il me le fallait absolument pour le soir même, bref j’étais dans la panade. Alors j’ai pris mon courage à deux mains, et j’ai attaqué le chantier.

C’est à dire que j’ai beau être plutôt sportive comme fille, la danse, le running, tout ça, il faut que je me fasse une raison : je suis positivement à ch*er en VTT. C’est à dire que, pour vous donner un exemple, hier j’ai accompagné à vélo MrChéri et notre copain R. pendant leur sortie running. Et ils sont allés bien plus vite avec leurs grandes jambes que moi avec mon petit vélo.

Seize kilomètres en 1h45 en pleine cambrousse, de la forêt, de la lande, des chemins caillouteux. C’était magnifique.
J’ai failli crever (au sens propre comme au sens figuré)

Celles et ceux qui me suivent sur Instagram ont du s’en rendre compte, au vu des photos postées ces dernières semaines : je suis en pleine phase monomaniaque sur la nourriture asiatique, et plus particulièrement japonaise. Si encore il n’y avait que les petits restso jap’ avec Marjoliemaman le jeudi midi… Petits restos qui sont en train de devenir une institution, on est bien d’accord. Mais cela ne m’empêche pas de suggérer systématiquement le même menu lorsque MrChéri et moi avons la possibilité de déjeuner ensemble le midi.
Donc voilà, quand je déjeune avec Marjo, c’est japonais. Et quand je déjeune avec MrChéri, c’est japonais aussi. Rien que cette semaine, sur cinq déjeuners, j’ai mangé trois fois asiatique. N’importe quoi, moi…

Quand j’ai commencé à courir, il y a 3 ans, le seul équipement spécifique que j’avais, c’était une paire de baskets (trop petites) (l’erreur classique du débutant) et une brassière de sport qui datait de ma grossesse de Mamzelle (soit millésimée hiver 2000, je vous laisse faire le calcul). Ça me semblait être le minimum, et en effet ça l’était. Pour le reste, je me contentais d’un corsaire en coton Reebok qui me servait aussi en cours de danse, et d’un vieux tshirt repêché au pif au fond de mon tiroir à pyjama. Clairement, le look n’était pas ma préoccupation principale.

Néanmoins, très rapidement, je me suis trouvée gênée par ces fringues non adaptées à la course à pied. Le coton, c’est bien, c’est même la matière la plus agréable à porter en temps normal, mais quand on court, on transpire (beaucoup, même, dans mon cas), et le coton mouillé mettant des plombes à sécher et pesant un âne mort, c’est particulièrement désagréable à porter. J’ai donc investi petit à petit dans un équipement beaucoup mieux adapté, et trois ans plus tard, mes affaires de running n’ont vraiment plus rien à voir avec celles de mes débuts.

Mes Korrigans adorent lire, notamment des BD. Ils doivent tenir ça de leur père, ce bédévore de compétition. D’ailleurs ils ne se privent pas pour piocher dans l’énorme collection paternelle ! Petitou est ultra fan du Chat, de Lanfeust, des Trolls de Troy… Quant à Miniloup, son préféré, forcément, c’est Calvin & Hobbes. J’imagine que le processus d’identification joue à plein tube entre ces deux facétieux petits blondinets…

Tout ça pour vous dire qu’hier, il faisait un temps à ne pas mettre un breton dehors (crachin puissance 12), je voulais prendre en photo Petitou et Miniloup pour immortaliser leurs toutes nouvelles tenues offertes par DPAM. Alors j’ai poussé le canapé, j’ai tiré au maximum les rideaux pour faire rentrer le plus de lumière possible, et j’ai installé mes deux fashion kids devant la bibliothèque à BD.

C’est au tour de Miniloup de jouer les mannequins d’un jour avec son super tshirt et son slim (oui, mes garçons ne portent que des slims, c’est ce qui sied le mieux à leurs silhouettes de haricots verts ^__^), le tout offert par CdeC by Cordelia de Castellane, une petite marque qui propose de bien jolis habits de super qualité pour les enfants.

Pierre qui roule n’amasse pas mousse… qui ne connait pas ce fameux proverbe ? Je ne pense pas que cela soit sa signification qui ait aidé Miniloup à choisir sa tenue, mais plutôt l’adorable petit ours qui fait du vélo le museau au vent !

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