Vous m’avez posé plusieurs fois la question, au sujet de ma tenue de samedi soir. Allais-je remettre ma robe de mariée après avoir fièrement clamé que je rentrais encore dedans ?
Hé bien, je suis au regret de vous décevoir, mais non, je ne l’ai pas portée, pas même quelques minutes pour faire ma maline. Trop ajustée à la taille, trop baillante au niveau de la poitrine, et furieusement froissée d’avoir été mise au placard durant 10 longues années. Et puis, c’était bien trop inconfortable pour l’occasion. Et à vrai dire, je n’en avais pas la moindre envie. Cette robe, si belle et si symbolique à mon coeur qu’elle soit, appartient à une journée particulière, celle du 3 octobre 1998.