Dans ma famille, on ne fait pas les choses à moitié… Comme nous étions 24 le 24 (ainsi que la veille, et le lendemain), mes parents n’ont rien trouvé de mieux que de louer une sorte de centre de vacances au fin fond des Pyrénées. La rusticité des lieux, à l’image des matelas en bois, des douches communes, du chauffage aléatoire et de l’absence complète de canapé ne nous ont pas empêché de passer quand même de bons moments en famille…
Aujourd’hui, de l’info en rafale. Mais pas n’importe quelle info, de la news généreuse et solidaire…
‘ai screugneugneuté dans mon coin jusqu’à aujourd’hui avant de venir me lamenter ici… histoire d’avoir tous les éléments en main. Je me devais d’attendre patiemment que Noël avec mes beaux-parents, fêté ce week-end, soit passé. C’était 3 fois rien, hein, on s’est contenté d’un petit apéro dinatoire (ras-le-bol de passer sa vie à table… et il fallait bien laisser un peu de place pour la raclette du lendemain et la galette du surlendemain, tout de même) durant lequel nous avons échangé nos derniers cadeaux. Quelle ne fut pas ma joie de recevoir, ENFIN, Persepolis de Marjane Satrapi, livre que j’espérais depuis des semaines et des semaines !
Ce matin, en montant sur ma balance, j’ai pris en pleine poire la réalité de mes excès de la semaine passée. 2 bons kilos en rab. Et on n’a même pas passé la Saint Sylvestre, c’est dire si le début d’année risque d’être sous le signe de la détox d’urgence, à grand coup de thé vert, de soupe de légumes et de fruits FRAIS.
Je pensais pourtant limiter les dégâts en faisant du sport durant cette folle semaine.
Me voilà de retour dans mes pénates après une semaine aussi festive qu’éprouvante… tenir le rythme de Noël sur 2 jours, c’est déjà pas facile, alors imaginez sur 7 ! Surtout quand chaque couple se charge de l’intendance à tour de rôle et que chacun tient à épater les autres convives par ses prouesses culinaires (je le sais, j’ai fait pareil). Ripailles et bombance furent donc au menu. Mais je n’ai pas fait QUE baffrer, j’ai également observé la façon de se nourrir de ma famille, et croyez-moi, ce fut assez instructif !