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Vous vous en souvenez peut-être, moi je n’aime pas jouer. Jeux de société, jeux vidéos, même combat. Si je télécharge de temps en temps des jeux sur mon iPhone ou sur l’iPad, c’est pour les Korrigans. Ce n’est pas une blague, ni une excuse en carton, je vous assure qu’il n’y a guère que le jeu de réussite ou Bejewelled qui soient capables de retenir mon attention plus de cinq minutes. Même le célébrissime Angry Birds m’a saoulé au bout de deux tableaux.

C’est vous dire si je viens de loin…

Malgré tout, à force de voir les copines en parler sur Twitter, moi aussi j’ai téléchargé Happy Street sur mon téléphone, et sans grande conviction, j’ai commencé à jouer. Malheur, qu’est-ce que je n’ai pas fait là ?!?

Depuis la fin des années 90, je suis une vraie droguée d’internet. Mon premier job, puis ma découverte des forums, et ensuite celle des blogs, n’ont rien arrangé. Avec mon iPhone, j’ai franchi un pas supplémentaire dans l’hyperconnectivité. Je suis connectée partout, tout le temps. Tout un pan de ma vie se déroule sur la toile. Mails, blogs, twitter, instagram… mais aussi, même si c’est une moindre mesure, facebook, foursquare, pinterest, etc. Bon, je sais qu’on est nombreux dans ce cas, et puis j’en ai fait mon métier, donc tout ça se tient. N’empêche, ça commence à devenir un peu fatigant… je crois que ces derniers temps, je frise carrément l’overdose. Sans pour autant arriver à lever le pied…

 

Quand la coiffeuse m’a demandé, hier matin, « vos cheveux, on les dégrade un peu », j’aurais peut-être du lui répondre non.

Mais il était encore tôt, je n’étais pas bien réveillée, j’étais dans mes petits souliers car j’étais arrivée super en retard au rendez-vous, alors j’ai gentiment acquiescé. Je ne me suis pas méfiée…

 

Bon, les amis, je crois que ma brillante carrière de blogueuse photo mystère a été stoppée net en plein vol, puisque vous avez quasiment trouvé tout de suite de quoi il s’agissait (d’ailleurs je remercie Amalia qui a fait durer le suspense jusqu’au 2ème commentaire).

Alors pour les deux personnes qui comme moi ne connaissaient pas ces petits bouts de plastique dont le prix au kilo doit avoisiner celui de la truffe blanche, ce sont donc des clip-top. Accessoire glamour s’il en est, discret protecteur de votre impétueuse poitrine, le clip-top vous permet mesdames d’éviter toute fuite intempestive de soutif en maintenant les bretelles de votre lingerie préférée bien croisées dans le dos.
HA HA, n’est-ce pas génial ?

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