Tag

greluche forever

Browsing

Hélas, ce n’est pas un an À Tahiti que je vous propose aujourd’hui, mais de vous dépayser direct dans votre salle de bain avec la nouvelle gamme Tahiti Douche. Le mythique cube a revu sa compo (bye bye les paraben !), créé de nouvelles fragrances bien exotiques et revêtu une nouvelle robe toute en rondeur, et pour fêter ça, j’ai 3 gammes entières à vous faire gagner : lait de coco, orchidée, fleur d’ylang, bois des tropiques, menthe fraîche, fleurs du pacifique, grenade, cocktail d’agrumes, litchi, lait de vanille et fleur de tiaré. Tout un programme !

 

Cela va bientôt faire un an que j’écris sur le blog de Sarenza, et je dois dire que cette collaboration n’arrange guère mon addiction aux chaussures. J’ai toujours eu un sérieux penchant pour la collectionite aigüe de shoes en tout genre, mais là je dois admettre que mon placard déborde un peu (mais c’est pas ma faute, c’est ma Mamisa qui m’a refilé le virus, d’abord).

 

Je crois que c’est ma copine Cathy, serial shoppeuse s’il en est, qui la première m’a fait découvrir le site idByMe. J’en ai passé du temps dessus à m’amuser à créer toute sorte de ballerines et de pulls en cachemire, de toutes les formes et toutes les couleurs. Sans jamais oser passer le pas de commander pour de vrai. Le prix, d’abord, qui reste assez élevé (on est sur du sur-mesure et des belles matières), et surtout la peur d’être déçue du résultat de mes customisations…

 

J’ai découvert Radiohead plutôt tardivement. Comme beaucoup, je connaissais le morceau Creep, sorti il y a un petit bout de temps, j’aimais bien, mais sans plus. C’est en 2009, à la sortie de l’album In Rainbows, que tout a basculé (tintintin – musique dramatique)

Pourtant, je n’ai écouté cet album que parce que le groupe le proposait « librement » sur leur site internet, sans l’intermédiaire d’une quelconque maison de disque. Une mini-révolution à l’époque, qui a beaucoup fait parler d’elle…

 

Les envies de coiffeur, chez moi, c’est un peu comme une envie de chocolat (ou de faire pipi, mais tout de suite, ça fait moins chic).

À chaque fois c’est pareil, ça me prend comme ça, sans que je m’y attende vraiment, et je ressens alors comme une sorte d’urgence à changer de tête…

 

Mon cordonnier, il a une petite échoppe qui ne paie pas de mine, dans une bourgade bretonne sans prétention.

Mon cordonnier, il prend tes chaussures, il les regarde une seconde à peine, il colle une étiquette avec ton nom dessous et il te dit de revenir dans trois jours. Mon cordonnier, il n’est pas du genre à s’embêter avec un fichier client informatisé, une carte de fidélité, ni même un carnet à souche. Mon cordonnier, il ne prend même pas la carte bleue (mais les chèques, si, quand même)…

 

Si vous me lisez depuis un peu plus d’un an, vous vous souvenez peut-être de mon coup de cœur du printemps dernier : les petits bijoux de la jolie boutique Un Oiseau sur la Branche. Pourtant peu portée sur la babiole fantaisie, j’avais craqué sur les créations poétiques, originales et faciles à vivre de Schlomit Ofir et Day Defi, notamment. Des oiseaux, des fleurs, il ne m’en faut guère plus pour faire battre mon cœur d’apprentie coquette !

 

Il y a quelques mois, j’ai participé au tournage d’un épisode de Patchwork, la web émission de la jolie Marie du site ModeTrotter… L’idée, c’est de prendre une petite leçon de mode en farfouillant dans mes affaires, histoire de remettre au goût du jour certains trésors oubliés, ou pas assez exploités, qui dorment dans ma penderie. Bref, faire du neuf avec du vieux, sympa, non ?

 

Pin It