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Non, je ne vous mentais, je n’exagérais même pas un tout petit peu… mardi soir, je suis rentrée dans la lumière, comme un insecte fou, avec d’énormes ailes de papillon rose bonbon à paillettes collées dans le dos. Même que c’était beau, même que c’était comme à Brocéliande, même qu’on était des Elfes, mes copines et moi.

Hier soir, le gala de danse de Mamzelle a été mouvementé, surtout en première partie. De petits plantages sur scène, un échange malencontreux de costumes qui manque de virer au pugilat, un chignon qui se défait, et la tension monte, monte.

Heureusement, un solide recadrage professoral en coulisse va calmer tout ce petit monde et le second acte sera un peu plus serein.

Retour de la rubrique du ciné club, après presque 6 mois d’absence… je ne sais pas si c’est la saison des galas de danse qui veut ça, mais aujourd’hui j’ai eu envie de vous parler d’un film culte (une série télévisée des années 60, en fait) qui a fortement marqué mon enfance : L’Âge Heureux, de Philippe Agostini, d’après le livre d’Odette Joyeux.

Quand j’ai appris qu’il était sorti en DVD, j’ai fait des pieds et des mains pour me le procurer. J’ai fini par le dégoter sur ebay, je n’étais pas peu fière de ma prise !

Mamzelle a immédiatement accroché avec cette histoire de petits rats de l’Opéra, malgré le noir et blanc, malgré l’époque qui remonte à l’enfance de ses grands-parents. Alors faisons avec elle une petite balade sur les toits de l’Opéra Garnier, si vous le voulez bien…

L’année est passée à toute vitesse. Je me vois encore animer l’assemblée générale de l’association, le 5 septembre dernier, les répétitions pour le concours de danse me semblent s’être passées hier, et pourtant nous voilà déjà arrivés au grand jour, l’aboutissement de mois de travail : le gala de fin d’année.

Alors, comment vous dire…

Bon, OK, j’ai toujours trouvé que ma petite louloute dansait bien, qu’elle avait de la grâce et beaucoup de peps. Mais avouez que côté objectivité, on fait mieux qu’une maman aveuglée par son amour pour sa fille. J’attendais donc avec impatience ce fameux concours de danse, pour avoir justement une idée un peu plus précise du talent supposé de la chair de ma chair. Et puis après l’avoir vue sur scène aujourd’hui, je me suis dit que je m’en fichais un peu finalement. Elle avait beaucoup travaillé avant, bien dansé pendant, elle avait progressé, gagné en assurance et pris du plaisir, c’est tout ce qui comptait, après tout.

Ça, c’est ce que je croyais…

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