Cela fait presque un mois que j’ai basculé dans le camp des Mac users. Un mois que je me régale, mais aussi un mois que je galère. Mon iMac et moi, c’est un peu Je t’aime moi non plus, si on veut rester dans la métaphore radiophonique…
Ça a pourtant débuté comme un conte de fée… quand j’ai ouvert le grand carton blanc qui abritait mon nouveau bébé, j’ai poussé de grands cris : oh qu’il est beau, oh qu’il est grand. Ensuite je l’ai branché, et l’émerveillement a continué : mazette, il n’y a rien à faire, ou presque, tout marche déjà, c’est magiiiique. Et puis, forcément, passer d’un mini 10 pouces à un écran de 21 pouces d’une qualité hallucinante, le choc rétinien est tel que tu en restes scotché un bon moment, à baver sur ton clavier…