A l’instar de Dom avec son Wanou, notre petite famille est également équipée en bavarde progéniture. Les chiens ne font pas des chats, me direz- vous (et sans doute n’auriez-vous pas tort). En effet, mais malgré tout, les lois de l’hérédité et de l’évolution sont parfois surprenantes.
Si nous avions tout misé sur Mamzelle et Petitou qui ont commencé très tôt et très fort leur vie verbale, s’exprimant comme des bouquins dès l’âge de deux ans, nous devons nous rendre désormais à l’évidence : le plus bavard de nos trois korrigans est sans conteste le petit dernier. Oui, notre Miniloup national, celui-là même qui a commencé à parler plus tard que la moyenne, celui-là même qui a frôlé les séances d’orthophoniste de près, très près, en raison de ses difficultés à exprimer certains sons et certaines syllabes.
Disons que ceci est désormais de l’histoire ancienne…