♥ En novembre, j’aime :
– partir cueillir des marrons dans les sous-bois,
– éplucher les premières clémentines,
– faire mijoter de la soupe de potimarron…
♥ En novembre, j’aime :
– partir cueillir des marrons dans les sous-bois,
– éplucher les premières clémentines,
– faire mijoter de la soupe de potimarron…
Le mois dernier, j’ai un peu changé mes habitudes en allant bosser trois jours par semaine en co-working dans un bureau en dehors de…
Je ne me suis pas trompée lorsqu’en juin dernier je pensais que Mamzelle portait sans doute sa dernière coupe au carré de petite fille sage. Une rentrée au collège (et un blouson en simili cuir) plus tard, et nous voilà de retour chez le coiffeur.
Gamine, je rêvais de porter des lunettes aussi belles que celles qui ornaient le magasin de mon papa opticien. Hélas, ma vue affichait un désespérant 10/10, j’ai du me contenter de laisser les innombrables montures dans leur vitrine, les essayant pour de faux dans l’arrière-boutique paternelle.
Mais les années passant, et les heures devant un écran s’accumulant, j’ai fini par en avoir vraiment besoin, de ces lunettes de vue. Et je dois avouer que ça ne m’a pas déplu. Depuis je les porte avec un plaisir presque coupable !
(billet sponsorisé)
Ça faisait longtemps que j’en rêvais. Un cuir, un vrai. Noir, un peu brillant, bien ajusté. Avec des zips. Un peu rock, mais pas trop.
Et jusqu’à présent je n’avais pas osé franchir le pas. Les blousons en cuir que j’ai pu croiser sur ma route étaient tous trop courts, trop épaulés, trop rigides. Trop pas moi. Je voulais quelque chose de plus simple.
Le week-end, j’essaie de décrocher un peu de l’ordi (enfin, sauf quand je blogue !) et de me plonger dans de lecture papier… C’est…
Ma copine Arzhela, elle a des doigts de fée. Elle en a d’ailleurs fait son métier, puisqu’elle est responsable du spa Armor Arcoat de l’hôtel Lecoq-Gadby, à Rennes. Alors quand elle m’a proposé de venir passer une petite journée en sa compagnie, je ne me suis pas vraiment faite prier…
La maison Lecoq-Gadby existe depuis 1902, et c’est un lieu rennais emblématique. La façade à colombages qui donne sur la rue ne laisse pas vraiment présager de l’étendue verte et calme que l’on trouve derrière. Un vrai havre de paix, à l’écart du monde. Je vous fais visiter ?
Quand, sur un coup de tête, j’ai commencé à courir l’année dernière, je n’aurais jamais pensé que ça me mènerai, 18 mois plus tard, à me lever tôt un dimanche matin, à chausser mes baskets et à aller suer au milieu de 2960 coureuses en tshirt rose. Oui mais voilà, il ne faut jamais dire jamais.
Déjà l’année dernière, j’avais raté l’inscription à La Vannetaise 2010. Cette année, j’ai pris les devants, je me suis inscrite à la newsletter et je les ai suivies sur Facebook. Et en juin dernier j’ai décroché mon dossard quasi à la dernière minute. Le 9 octobre 2011, j’allais courir La Vannetaise !