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shopping et Cie

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Dès que j’ai vu les photos de la dernière campagne Gérard Darel, j’ai su… ce pull Marilyn, je le voulais, il me le fallait. Vieille réminiscence d’une des (nombreuses) idôles de mon adolescence, souvenir encore vivace de ce film avec Yves Montand que j’avais adoré, et de cette chanson… My Hearts belong to Daddy.
Et puis, juste avant de foncer dans une boutique Darel ventre à terre, écume au bord des lèvres et carte bleue en ébullition, je me suis rappelé…

Deux ans après tout le monde, j’ai acheté un boyfriend jeans. Ce qui n’est pas très étonnant quand on sait que je porte toujours mes flare de 2008 (même si apparemment ils reviennent à la mode cet automne) et que les slims n’ont guère le droit de cité dans ma commode Ikea en pin made in 1994.

Bref, tout ça pour dire que je ne sais pas ce qu’il m’a pris, sans doute qu’à force d’être boudinée dans mes flare de 2008 (et je ne parle même pas des slims, pour le coup), j’ai eu envie de confort. Et qu’après 2 ans à regarder les boyfriends des autres d’un œil circonspect, je me suis fait à leur esthétique particulière (je vous rassure, on parle toujours de pantalons, là).

 

Si depuis toujours j’aime les murs blancs et la couleur vive, en matière de déco, je ne suis pas très fidèle, j’aime changer régulièrement. J’ai eu ma période marine (il y a bien bien longtemps), ma période flower power, ma période bayadère, ma période petits pois… Ainsi en atteste la déco de notre maison, car si certaines tendances ont été mises au grenier (genre les photos de Philip Plisson que je ne peux désormais plus voir en peinture), il reste ça et là quelques vestiges de mes passions passées. Après tout on ne vit pas dans un catalogue Ikea, les mélanges c’est la vie, et ne pas toujours tout assortir, c’est bien aussi.

 

Mon expédition punitive chez Ikea a bien eu lieu aujourd’hui, comme prévu. Ce matin, j’ai déposé les enfants à l’école, j’ai chopé au vol ma copine Sonia, et nous avons pris la route direction Nantes et son temple du meuble en kit pas cher.

J’avais planifié mes diverses emplettes encore plus sérieusement qu’un chef d’état major : les cotes du futur bureau soigneusement consignées dans mon petit carnet, ma liste d’achat repérée sur internet et imprimée stratégiquement dans l’ordre des rayons. Ma carte bleue se tenait au garde à vous dans mon tout-en-un, prête à flamber pour la bonne cause.

 

Dans la famille Petit Bateau, je voudrais la mère, la fille, le fils, encore le fils (et sans doute le père quand il était petit). De la première brassière nouveau né aux premières culottes, du pyj en velours ras tout moelleux pour les petits à la collec entière de tshirts et débardeurs dans toutes les couleurs pour moi, sans oublier les robettes à bretelles adoptées depuis longtemps en cours de danse, c’est pas que dans la famille, on soit des fétichistes de la marque, mais ultra fan de basiques chics 100% coton, ça, c’est sûr…

 

Je suis sûre que vous connaissez Manu, la sémillante blogueuse quinqua, un brin mégalo et complètement déjantée ? Eh bien, j’ai un scoop sur elle qui en étonnera plus d’un ! Figurez-vous que cette grande fofolle ne fait pas que raconter des bêtises à longueur de journée sur twitter et sur son blog, il lui arrive parfois d’avoir de bonnes idées. Si, si.

La preuve ?

Un matin, on ne sait pas trop où elle est allée pêcher ça, mais elle a décidé de lancer le #NoShoppingMonth…

 

★ Mon été en robe longue : cette année, je ne quitte plus mes robes longues. Quoi de plus pratique : le matin j’enfile une culotte, ma robe, des sandales, et zou, je suis prête. Le soir, idem. Une imprimée, deux noires, une bleue, me voilà parée, en toutes circonstances…

 

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