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J’avais dit, en juin, je ne bouge pas de chez moi. Et puis… et puis il y a eu cette invitation que je n’ai pas su refuser. Quatre jours en Écosse, ce pays qui me fait tellement envie depuis si longtemps. Un programme auquel on ne peut pas résister : Édimbourg, le Loch Lomond, un voyage sous le signe de la découverte et de ce mantra positif qui ne peut que me parler : #osezlebonheur.

Alors j’ai dit zut à mes bonnes résolutions, j’ai fait ma valise et je suis partie direction l’Écosse !

Lors de mon séjour à Budapest, j’ai eu la chance de pouvoir composer mon programme de visite, c’était un voyage quasi à la carte ! Je n’avais que l’embarras du choix face à tout ce qui était proposé, mais quand j’ai vu qu’il y avait une visite axée sur l’Art Nouveau, je n’ai pas hésité une seule seconde.

Je suis une dingue d’architecture. Je n’y connais pas grand chose, c’est à mille lieues des études que j’ai pu faire, mais je ne sais pas, je suis toujours très sensible à l’architecture d’une ville. Vous vous en êtes sans doute rendu compte si vous avez lu mes billets sur Hambourg et Casablanca notamment, je peux m’extasier pendant des heures devant une façade et la prendre en photo sous toutes ses coutures.

Budapest n’a pas fait exception à la règle, tant son architecture est riche et sublime.

l y a quinze jours, j’étais à Budapest ! Invitée par l’Office du Tourisme de Hongrie, dans le cadre du Festival de Printemps j’ai passé deux belles journées à découvrir la ville, la plupart du temps en solo.

J’ai beaucoup aimé Budapest, l’architecture est magnifique (je vous en parlerai dans un prochain billet). L’ambiance est à la cool, et il est facile de se repérer en ville. La ville est découpée en deux, séparée du nord au sud par le Danube : Buda à l’ouest surplombe Pest en contrebas à l’Est. À Pest, Buda est toujours en vue, c’est très pratique pour s’orienter. De plus, en ce début de mois d’avril, le temps était très doux et ensoleillé, c’était hyper agréable. J’ai adoré me balader le nez au vent dans les grandes rues, longer les rives du Danube, grimper sur les hauteurs de Buda, découvrir l’effervescence de Pest.

Voilà deux semaines que nous sommes rentrés de notre séjour en Méditerranée avec Croisières de France, il est maintenant temps d’en faire un petit bilan ! Petit rappel, nous avons été invités tous les cinq par Croisières de France, c’était notre toute première croisière, nous avons embarqué à Marseille sur la croisière Baila (cinq escales : Barcelone, Valence, Mahon sur l’île de Minorque, Ajaccio et Santa Margherita en Italie, et une journée en mer), et cette croisière francophone en formule tout compris s’est déroulée du dimanche au dimanche, la première semaine d’août.

Et voici déjà notre cinquième et dernière escale… Santa Margherita, sur la côte ligurienne. Notre gros bateau a jeté l’ancre un peu au large des côtes, nous débarquons donc en chaloupe dans le petit port de Santa Margherita. Les bus pour Portofino sont pris d’assaut, nous décidons finalement de rester sur place et d’explorer les rues colorées si typiquement italiennes de cette jolie petite ville. La balade est charmante, nous admirons les façades en trompe l’œil des habitations, poussons la porte d’une église, tournons à gauche, tournons à droite, jusqu’à revenir sur le front de mer.

Ah, Ajaccio. J’avais tellement hâte d’y revenir, cinq semaines après cette expérience exceptionnelle qu’a été le Tour de France. Les Korrigans étaient eux aussi comme des fous à l’idée de voir enfin de leurs propres yeux un petit bout de cette Corse dont je leur ai tant parlé. C’est donc le plus tôt possible ce matin que nous avons débarqué.

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